Nos frères centrafricains devraient bien se souvenir de cette maxime...!
Pourtant, sur la photo ci-dessous, lors du forage que nous avons réalisé à Imohoro, le chef du village et le chef peul se rejouissaient ensemble de voir l'eau jaillir, cette source de vie nécessaire autant aux uns qu'aux autres !
Espérons que chacun reviendra rapidement à la bonne entente d'avant, à réapprendre à vivre ensemble, à continuer de partager la terre, l'eau, ces éléments indispensables à la vie.
Saurons-nous le moment venu leur expliquer qu'il est nécessaire qu'ils retrouvent la quiétude et la sérénité en oubliant très vite ces luttes fratricides ?
Pour le moment les tensions sont toujours extrêmement vives et la sécurité toujours inexistante.
Nous pensons à eux qui souffrent dans leurs coeurs et dans leurs corps.